• Les cicatrices sur ma peau blemes ne sont rien....
    Comparés aux blessures que j'aie à l'intérieur....

    Arrepticia


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  • Ouh la peur sur la ville
    Tu en est la cible
    Toi petite fille
    Toi Hélène Hélène
    Tu cours dans le noir
    Ils te coincent là-bas
    Frappe frappe encore
    Personne t'ouvrira

    Tu as l'esprit de vengeance
    Hélène et le sang
    Mais je sais à quoi tu penses
    Hélène et le sang
    Tu r'trouveras les salopards
    Hélène et le sang
    Qui t'on violée dans un bar
    Hélène et le sang

    Des marques sur ta peau
    Sous la gorge un couteau
    Quatre salopards...
    Une nuit de cauch'mar
    Tu n'as plus rien à perdre
    Il te reste la haine
    Tu peux compter sur moi
    Toi Hélène Hélène

    Bérurier Noir

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  • Pourquoi t'es si gentil avec moi ?!?

    Je le suis pas d'habitude ?!?

    C'était il y a longtemps...
    Allez dis moi, pourquoi...?

    Parce qu'il est temps
    de rallumer les étoiles...

    Quelles étoiles ?!?

    Celles qui brillaient dans tes yeux
    quand tu me regardais...

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  • Comme une ombre dans la nuit,
    Je te vois hanter mon esprit,
    Ton souvenir encore flou,
    Une silouhete, celle d'un fou.

    Je ressent encore aujourd'hui la peur,
    Que j'aie eu trop de fois, en vivant cette horreur,
    Mon enfance tu as détruit,
    Ma vie tu as salie!

    Tu m'isolait, m'enfermai, me cloitré,
    Tu allais me rejoindre je le savais,
    Et quand ton regard pénetré le miens, plongé dans mes yeux,
    Je ne pouvais que lire la mort dans tes yeux vicieux;

    Tes paroles résonnes encore dans ma tête je me souviens,
    J'était assise recrocqueviller sur moi même, autour de moi tes mains,
    Tu me disais" ne t'inquite pas on va jouer, tout les deux on va bien s'amuser"
    "Pourquoi as tu peur? tu sais même pas ce qu'on va faire, a quoi on va jouer"

    Tu me menacer, "surtout ne dis rien a personne c'est notre secret"
    "tu pourais m'attirer des ennuis, et tu ne veu pas ça, c'est notre jeu secret"
    Quand je disais que j'allais tout répété tu me frappait,
    Et lorsque quelqu'un entrait tu m'enfermé dans l'armoire pour que je ne puisse pas m'échaper.

    Quand j'aie grandi, je me caché sous le lit, tu me suplié de sortir "jouer"
    Tu me disais que sens moi tu était triste, tu me tiré par le bras a presque me l'arracher,
    Tout le monde étaient loin, il n'y avait que toi et moi,
    Et dans cette chambre sombre, j'avait l'impréssion que les murs se refermaient sur moi...

    J'avais 6 ans, 9ans, 12 ans et toi tu me memancer de me taire, je ne disais rien, je ne pouvais rien faire plaqué sur sol froid, ou sur un lit, qui m'aurait cru? mais un jour je te retrouverais, et le fait que tu sois un cousin par alliance ou je ne sais quoi ne va rien arranger, et aucun traitement de faveur te sera livré, j'aie bientôt 19 ans et tout ce temps cette histoire était resté caché mais maintenant je n'aie plus peur, maintenant je suis grande, oui je me souvient tu me disait "un jour tu comprendra quand tu sera grande" ce jour est venu, et pour la premiere fois cette histoire je la révèle au grand jour, ce n'est peut-être rien pour toi, mais pour moi c'est déjà ça et ce n'est que le début, tient toi près...

    Arrepticia



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  • "Que tu l'aies eu, n'est pas tout mon chagrin, l'on peut dire pourtant que chèrement je l'aimais; qu'elle t'ait eu, c'est mon malheur cuisant, une perte en amour qui me touche plus près.
    Aimant mes offenseurs, ainsi je vous pardonne : tu l'aime elle car tu sais que je l'aime ; et pour mon bien de même elle doit me tromper, voulant que mon ami pour mon bien la possède.
    Si je te perds, ma perte est gain pour mon ami ; si je la perds, l'ami a trouvé cette perte ; deux se trouvent l'un l'autre, moi je perds tous les deux d'une croix chargent pour mon bien.
    Mais ici le triomphe : l'ami est moi c'est un. O flatteuse pensée! Donc c'est moi seul qu'elle aime."

    W. Shakespeare. The sonnets (sonnet 42)

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